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Sauvons la planète

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La terre nous donne des richesses en abondance et de la nourriture pacifique. Elle nous offre des repas qui ne sont tachés ni de sang ni d’assassinat. Pythagore
Pour bien commencer cette nouvelle année, quel bonheur d'écouter Christophe Piquet qui décrit sa terre après trente années d’un assidu labeur productiviste et qui  retourne sa veste, jette ses produits chimiques, et repart de zéro. Sauver ses champs, c’est un petit peu sauver la planète. Son témoignage contribue à une prise de conscience, l’avenir des générations futures est devenue sa préoccupation majeure.
On ne trafique pas impunément l'air, l'eau, la nourriture, par machine économique interposée. La chimie n'a jamais nourri personne — sauf ceux qui la vendent —, tous les vrais biologistes nous le diront (ils ne sont pas trop nombreux). Les autres, les expérimentateurs, sont tellement occupés à trouver une nouvelle méthode pour contourner les lois cosmiques, en utilisant la vie animale comme terrain d'expérience, qu'ils ne pensent plus, n'ont plus de théories concernant la vie.
C'est ainsi qu'ils passent même à côté de toutes les leçons que cette vie leur donne. Ils nomment guérir l'art de refouler les symptômes et en sont réduits à préconiser la prévention ou mieux l'abstention, faute évidemment de parvenir à la guérison.
Les scientifiques honnêtes et lucides avouent : la maladie est dans nos têtes et dans nos assiettes, nous mangeons trop et n'importe quoi, trop de viande (qui est un concentré de chimie, de vaccins, d'hormones, d'engrais, de pesticides, d'antibiotiques, d'anabolisants, de conservateurs, de stress, de haine, de souffrance, d'angoisse et j'en passe).
Ceux qui sont intéressés par le contenu de leur assiette peuvent lire l'ouvrage d'Antoine Roig, « Le guide des additifs et des polluants alimentaires » (éditions du Rocher). Il n'a pas fallu moins de 739 pages pour venir à bout de l'énumération de ces additifs ! Dans la foulée, vous pourrez lire le « Dossier noir des médicaments de synthèse » (Ed.de Brouwer) et « Pollution alimentaire et cancer » du docteur de Brouwer. (Ed. Encre)
La vie, sous quelque forme que ce soit, enregistre de façon indélébile tout ce qui lui arrive et n'a de cesse (cela fait partie du jeu) de transférer cette information avec tout le reste du vivant. La physique nous l'a dit depuis longtemps. L’univers est Un, les particules sont interdépendantes. Nous vivons dans un monde où tout est relié, dont nous ne sommes que les participants.
Seule la biologie n'a rien entendu, ou rien voulu entendre, faute de grand dessein et surtout de grands Hommes. Elle a besoin, d'urgence, d'Etres de lumière, capables de manifester des sentiments de compassion, de respect, d'humilité, d'amour. Elle a besoin de remplacer ses robots sans âme, dont la programmation n'a pas prévu qu'ils puissent reconnaître leurs erreurs et se « repentir ». Ils ont entraîné la Science contemporaine dans une voie sans issue, où l'humanité s'est engouffrée à leur suite, grisée par les promesses de profit, de moindre effort, de jouissance de toute nature, avec leur assurance qu'il n'y aurait rien à payer. Ils ont remplacé la science par la technologie, ce ne sont plus que des techniciens de la science.
Produire sans mesure, manger sans mesure, s'amuser sans mesure, se reproduire sans mesure, consommer sans mesure, etc.
On voit le résultat aujourd'hui... On nous permet même d'être malade gratuitement. Nous avons droit tous les mois ou plus à une « visite » comme des voitures, pour le plus grand profit de ceux qui en vivent (1 cancéreux fait vivre 800 personnes).
Jusqu'à quand allons-nous supporter une telle gabegie ? Quel grand Homme, aux yeux de l'histoire, s'élèvera contre cette monstrueuse coalition de désinformation au profit d'une minorité ? Quel politicien sera prêt à renoncer à tout, à risquer de tout perdre pour gagner le tout ? Nous pouvons prédire à ce dernier la plus grande place de tous les temps dans les manuels d'histoire !
Toute vie mérite respect et amour. Il faut réformer nos façons de penser, donc d'agir.
Nous ne sommes pas seuls sur la planète. Tout être vivant a droit à sa part de vie personnelle, et non à celle que nous lui imposons. Il faut abolir les élevages hors sol où de malheureux animaux ne verront jamais le soleil, ne peuvent bénéficier d'un espace vital dont ils ont génétiquement besoin (leur territoire) afin de manifester la santé et leur apporter une alimentation prévue de tout temps par leur esprit-groupe. La quantité n'ira jamais de pair avec la qualité, c'est cela l'élitisme, vilipendé par nos sociétés de médiocres qui ne savent mettre en avant que l'égalité.
Faute de savoir gérer notre multiplication, il faut choisir de nous restreindre : un même carré de terre peut nourrir un carnivore ou 10 végétariens. Qu'en disent nos porte-paroles de la conscience ? Ils ont bonne conscience à peu de frais : des mots.
Si cette éthique ne trouve pas d'écho à cause de notre égoïsme, alors utilisons l'argument de la peur : l'homme est en bout de chaîne alimentaire. Tout au long des chaînons, les pollutions se multiplient avec des chiffres effrayants. Il vaut donc mieux consommer en début de chaîne.
Le cosmique veille. Le choc en retour est en route. Pauvre de nous, les humains : la maladie est en nous, nous la trouvons dans l'air que nous respirons, dans l'eau que nous buvons, dans la nourriture que nous absorbons. Tout ceci parce que nous ne sommes ni assez forts, ni assez sages.
Notre psychisme est parasité par le psychisme des créatures que nous exploitons. Les animaux en batterie deviennent fous et essayent de s'entre-tuer, la guerre civile est à nos portes. Le moindre bruit affole ces animaux qui se blessent contre les grilles de leur prison ; la moindre rumeur – vraie ou fausse – nous jette dans la rue, sans réflexion, sans discernement, manifestations contre des moulins à vent pendant que les vraies questions restent sans réponse et que les vrais coupables ont réussi à détourner l'attention ailleurs.
Nous sommes des animaux en batterie, on nous manipule, on nous berne, on nous berce de beaux discours et nous le savons. Comme ces animaux, nous sommes résignés, “abstentionnistes”. Entre le cancer et le sida, que choisir ?
Aujourd'hui, les vaches sont folles, les porcs ont la peste ou des encéphalites, les veaux sont dopés aux anabolisants, antibiotiques et autres hormones (on les tue juste avant qu'ils ne meurent d'eux-mêmes !). Les vaccinés attrapent toutes les maladies. Nous récupérons ces vaccins dans nos assiettes. La rage gagne du terrain ; à quand les moutons enragés ? Ce pourrait être nous...
C’EST AINSI QUE NOUS DEVENONS CE QUE NOUS PENSONS
Nous devons être très attentifs au contenu de notre psychisme, car les molécules créées par nos pensées peuvent être de violents poisons qui altèrent la vitalité de nos cellules et donc celle de notre corps.
Une pensée de haine ou un désir de vengeance affectera moins le destinataire que nous-mêmes.
Puisque nous sommes dans l’immatériel de l’information, n’oublions pas qu’au monde physique, vient s’opposer la néguentropie, l’accroissement de l’information, sous forme d’échanges continuels par les ondes cosmiques et telluriques, la lumière, la respiration, l’alimentation (eau – nourriture).
Tout organisme vivant se nourrit d’information, l’être humain n’échappe pas à cette règle : Sur le plan physique, nous sommes amenés à casser des formes en mastiquant notre nourriture. La déformation se poursuit dans l’estomac (déstructuration chimique), puis dans notre intestin (fermentation). Les informations libérées sont de plus en plus grossières.
Il est important de souligner qu’une alimentation carnée nous animalise et nous maintient dans la matière et que la viande issue d’animaux de batterie ne peut nous transmettre qu’horreur et souffrance, tel étant leur vécu.
De leur côté les plantes, les légumes, les fruits, les céréales – s’ils ne proviennent pas d’un mode culture biologique – n’ont aucune information de vie, la chimie – dont la culture moderne intensive est structurée – étant synonyme de mort, n’est pas reconnue par le vivant. Les plantes issues de l’agriculture biologique – ou, mieux, cultivées en biodynamie – sont nourries par l’humus provenant du compost de la saison précédente. Elles peuvent donc transmettre les informations essentielles nécessaires à l’adaptation de la nouvelle plante, donc du consommateur, aux nouvelles conditions de l’environnement.
Dans les domaines de la conscience, la qualité de nos pensées, sentiments, émotions, nourrissent nos plans subtils. On, comprend combien il est important d’avoir des pensées positives si nous ne voulons pas nous auto-polluer quotidiennement.
Ainsi, les informations constituant le vécu des aliments que nous consommons (animal ou végétal), s’intègrent à notre individualité dans une relation d’amour. « Aimer, c’est faire l’autre sien ». On utilise le verbe aimer pour ce que l’on mange ! Il devient alors simple de comprendre combien la qualité de notre alimentation est déterminante, puisque « l’on devient ce que l’on mange », ayant sélectionné « ce que l’on aime ». La qualité de nos pensées dépend de la qualité de notre sang. Nous savons donc où et comment agir pour assurer la maîtrise de notre psychisme, donc de notre vie !
Il nous appartient à chaque instant de détruire les barreaux de la prison que nous nous sommes forgés, résultat d’un psychisme perverti par des comportements et des conditionnements erronés. Car la Tradition nous dit bien : « Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils iront au fossé ». Ne nous laissons donc pas dicter notre conduite ni influencer d’aucune manière, sur quelque plan que ce soit : politique, religieux, social, médical ou autre. Notre santé physique, morale, psychique et notre destin tout entier en dépendent.
L'importance de l'eau
La pollution que nous subissons actuellement est double. D'une part, le ciel est envahi par une multitude d'ondes de toutes sortes, qui viennent imprégner l'eau et provoquer des brouillages dans les signaux cellulaires.
D'autre part, dans le sol, les produits chimiques, engrais, herbicides, insecticides, fongicides, structurent l'eau autour de leurs molécules et la rendent indisponible pour son fonctionnement normal. Une plante qui ne dispose que de cette eau « dénaturée » essaye de diluer ses toxiques en absorbant encore plus d'eau. Ses structures sont soufflées et sa belle apparence est trompeuse : il y a brouillage des informations, et son état de santé est déficient. Les parasites peuvent donc facilement proliférer sur un organisme ainsi amoindri.
Les problèmes posés par la pollution de l'environnement et de l'eau sont donc liés, puisque tout passe par l'eau. La qualité de nos informations, qu'elles viennent de l'air, de l'eau ou de la nourriture est totalement compromise actuellement. Nous nous sommes trompés en ne prenant en considération que les échanges matériels, chimiques, qui sont en fait des pièges à informations chez les êtres vivants.
Les techniques de mise en évidence des transferts d'informations montrent que nous vivons dans un monde en totale interaction. Chacun des éléments composant l'univers est relié, de près ou de loin, à l'ensemble de la création. Une phrase d'un physicien illustre cette inter-relation : « On ne peut cueillir une fleur sans ébranler une étoile ».
En ce qui concerne la nourriture, nous devenons donc, au moins partiellement, ce que nous mangeons, et ceci au travers de l'eau. « Il courait après sa perte qu'il a fini par rattraper », a écrit un poète canadien. Cette métaphore peut s'appliquer à notre civilisation.
Il est encore temps de changer. Redevenons respectueux des autres et de tout le Vivant. Donnons, au travers de l'agrobiologie, les moyens à la Terre de se rétablir, et aux paysans qui nous nourrissent le droit de vivre dans des conditions décentes et humaines, si ce mot a encore un sens. Sinon, il faut lui en rendre un d'urgence. Notre survie est à ce prix.
Et pour compléter cette page, voici un lien (à voir sur mon autre site "MEDITATION & LIBERTE") CLIQUEZ ICI
Végétarisme et spiritualité
L'une des principales causes des malheurs de l'homme est son alimentation, car il se nourrit d'autres êtres souffrants.
Elle empêche de renoncer à l’idée de supériorité qui est implicite dans ce comportement, ainsi qu'au goût. Et comme cela est injustifiable, beaucoup de ceux qui mangent les animaux montrent de la mauvaise foi en défendant leur tradition. Celui qui ne mange plus de viande, au minimum, pour des raisons sentimentales ou spirituelles, est déjà sur la voie de l'illumination, par la compassion.
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